A cure for life : Analyse et explications de la fin du film

Si le film n’a pas connu un énorme succès au box-office, la présence de Dane DeHaan au casting et de Gore Verbinski (un mec qui sait clairement comment réaliser un film) mérite quand même qu’on s’intéresse un minimum à ce film. Et si la qualité n’est pas complètement au rendez-vous, force est de reconnaitre que la mise en scène est une réussite et que le film nous retourne bien la tête.

Imaginé comme un puzzle aux enjeux plus que troubles, A cure for life joue constamment avec le spectateur et s’amuse à le faire douter sur la réalité de tout ce qu’il voit. Dans cette analyse, nous allons expliquer ce puzzle, le cheminement de Lockhart dans l’institution, et bien sûr la fin très particulière. Vous vous en doutez, cet article est 100% spoilers sur l’histoire et le déroulement de l’intrigue du film. Nous vous conseillons (ou pas) de le voir avant de lire.

Page 1 (vous y êtes) : Introduction
Page 2 : L’univers du film
Page 3 : Analyse de l’intrigue
Page 3 : Explication de la fin et théories

Synopsis

Lockhart, jeune cadre ambitieux, est lancé sur la trace de son patron disparu dans un mystérieux centre de bien-être en Suisse.Pris au piège de l’Institut et de son énigmatique corps médical, il découvre peu à peu la sinistre nature des soins proposés aux patients. Alors qu’on lui diagnostique le même mal qui habite l’ensemble des pensionnaires, Lockhart n’a plus d’autres choix que de se soumettre à l’étrange traitement délivré par le centre…la Cure.

Page suivante : Origines et enquête

Vous avez certainement des choses à ajouter : exprimez-vous en commentaires !

Total
1
Partages
18 commentaires
  1. Beaucoup oublient un détail vital du film, c’est étonnant car le réalisateur a insisté plusieurs fois dessus, pour guider le spectateur. Notez que quand il a été interrogé sur la fin, Gore a refusé de répondre, disant simplement qu’il a joué avec la “paranoïa du spectateur”.
    A partir de ce constat-là il donne un indice : c’est une question de croyance.
    Or, quel est le détail du film qui met le doute ?
    La danseuse.
    “Elle rêve mais ne sait pas qu’elle rêve.”
    Tout devient clair alors : les dents qui réapparaissent sur le personnage comme par magie, le visage du baron qui est monstrueux alors qu’il prend pourtant régulièrement l’elixir comme les autres, la fille immortelle qui tient en respect les anguilles à 2 reprises, à sa naissance, puis à ses premières règles. Tout n’est que symbolique chimérique du rêve du personnage, qui ne sait pas qu’il rêve. Ainsi dans son rêve, le grand méchant est un monstre difficile à vaincre, la gentille pure est épargnée par le destin (via les anguilles qui refusent de l’attaquer), et le personnage se voit tel qu’il se l’imagine, et non tel qu’il est réellement (avec des chicots en moins et une jambe guérie !). La scène finale, le montrant s’évader en vélo avec un grand sourire naïf, montre une mâchoire avec toutes ses dents bien blanches… clin d’œil à la toupie d’Inception qui tourne, tourne, tourne et… (?) 🙂

    Je vous laisse revoir le film avec ces informations, ça deviendra plus clair ! a bientôt

  2. On peut facilement voir que le personnage principal rêve : il va dans des endroits humides et même dans l’eau avec son plâtre, qui reste comme neuf

  3. Heu l incendie a eu lieu il y a 200 ans soit l âge de la gamine… j ai pas mis 200 ans à avoir mes premières règles! La grosse bourde du réalisateur qui nous prend pour des jambons…

  4. Je suis d’accord avec jessie. Je pense qu’à partir du moment où il a eu l’accident au début, toute la suite n’est qu’un rêve ! Sinon pourquoi la danseuse serait un élément phare du film !

  5. J’ai une autre théorie. On voit ces visages que le baron se colle dir la tête pour cacher ses horribles blessures. Ne pourrait il pas avoir remplacé lockheart en se collant son visage, fuyant ainsi le château avec sa bien aimé enfin féconde et acquise ? À réfléchir …

  6. Il y a une scène, que je trouve intéressante après les crédits, alors pitié regardez les films jusqu’au bout.

  7. Autre chose plaide en faveur du rêve. On voit clairement le Dr Volmer dans la grande salle en feu, l’air abasourdi et immobile APRES qu’Hannah et Lockart soient sensés l’avoir tué… Je pense aussi qu’il s’agit de la figure encapuchonnée et enflammée qui s’écroule sur le perron et vers qui deux ou trois membres du personnel se dirigent avec des couvertures . La caméra la quitte juste au moment où le feu est étouffé et qu’on pourrait savoir son identité pour se focaliser sur les deux tourteraux qui décident de prendre la fuite…

  8. Bonjour,
    J’ai également noté un détail que vous n’avez pas cité, qui plaide en faveur du délire/rève.

    A environ 1h47 de film : Lockart retire son fichu plâtre, mais est-ce vrai?
    A environ 1h56 de film : la scène ou Lockart entre dans la salle à manger pour faire scandale commence
    On le voit bien entrer dans la salle en train de courir avec la pleine capacité de sa jambe
    Fixez bien sa jambe, la scène est très courte : quand il fait des tours sur lui même pour éloigner les autres patients, il traîne la pâte, comme si finalement son plâtre était toujours la, mais que son esprit pensait s’en être débarrasser…

    Que le débat continue 😉

  9. Heu… pour l’histoire de la dent, il peut tous simplement s’agir d’une fausse dent… sa n’aurait rien d’extraordinaire…

  10. Bonjour,
    j’arrive après la bataille, mais j’aimerai quand même vous soumettre ma théorie.
    Je vais pour cela partir d’une généralité.
    Lorsqu’une personne raconte une histoire, elle présente ses personnages.
    Un personnage dans son quotidien, apparement banal, puis un imprévu et l’aventure commence. On en sait plus sur lui, l’empathie apparait, on s’identifie à lui, on s’attache à lui : le héros est né.

    A cure for life suit ce même schéma. Le héros travaille dur, il réussi à obtenir une promotion. On nous explique que son père est mort, qu’il a l’air de travailler dur pour permettre à sa mère de vivre mieux…hélas, l’aventure commence : sa hiérarchie souligne les fautes du héros, il risque la prison, bref l’aventure commence.

    Maintenant voici ma théorie : et si toute cette histoire n’était qu’une histoire de CONTRAT ?
    Le narrateur en suivant ce schéma nous laisse penser que Lockhart est le héros , dans le sens “pur” que l’on attend généralement d’un héros… il nous a peut être roulé dans la farine…
    Au début du film, on voit Lockhart dans un train. Séparé par le couloir entre les sièges, à l’extrême opposé du siège de notre “héros” se tient un “CHERUBIN”…un petit garçon innoncent qui déssine sur la vitre : la tête d’un DIABLE.
    Lockhart fixe l’enfant avec de la haine dans le regard.
    On sait qu’il travaille pour une entreprise de wall street. Il a signé un CONTRAT indiquant en gros qu’il doit faire gagner de l’argent à ses patrons.
    Il le fait… en ne respectant pas les règles.
    Quand sa hiérarchie lui signifie qu’il a fraudé “comme un débutant”, il a une analyse de la situation qui prouve qu’il n’en est pas un : “si c’était le cas, vous m’auriez déjà dénoncé”.

    L’entreprise lui propose alors un nouveau CONTRAT : aller chercher Pemprock et lui faire porter le chapeau.
    Ce qu’il va faire…mais au final une fois encore, l’entreprise de Wall street a été berné : personne ne porte le chapeau, et Lockhart va très certainement disparaitre, et comme il le dit lors de l’entretien au début du film : sa position dans la société fait que la commission d’enquête pensera que la fraude vient d’un membre dirigeant.
    Il sera difficile pour ses patrons de rejeter la faute sur Lockhart alors même qu’il a disparu, et très certainement mort dans l’incendie…

    Des détails me frappent :
    le père du héros est un suicidé : il n’aurait donc pas, selon les croyances, accès au paradis.
    On ne sait pas vraiment qu’elle est la relation entre Lockhart et sa mère : au final elle le dit elle même : “comment veux tu que je me sente, alors que je suis dans un endroit ou l’on meurt ?”…ce à quoi le héros répond :” j’ai eu une promotion, je te mettrais ailleurs…”. Mais entre nous : peu importe la valeur de la cage, l’oiseau reste enfermé, et cela restera un mouroir pour la mère…qui va d’ailleurs mourir, et qu’on verra BRULER dans son cercueuil.
    Le FEU. Le château a brûlé il y a 200 ans. Le barron et sa soeur/femme aussi.
    Le château BRULE encore 200 ans après, et le barron aussi.
    Et d’une certaine façon, l’entreprise de Wall street va se CONSUMMER elle aussi, quand la fraude sera découverte.

    Je continue avec les CONTRATS :
    il y a 200 ans, le baron a brûlé, et sa fille a été jeté dans l’eau putride.
    SUPPOSONS : Le baron voulait devenir immortel. Un CONTRAT a t il été fait afin qu’il accède à l’elixir ? mais le baron a été trompé ?
    Le baron et sa soeur n’ont pas pu avoir d’enfant viable. Un CONTRAT a t il été fait afin qu’elle réussise quand même à tomber enceinte et à ce que l’enfant vive ?
    mais ils ont été trompé : le baron a brûlé, sa soeur/femme aussi, et l’enfant a été jeté vivant dans l’eau avec les anguilles…

    Je tiens à souligner la SYMBOLIQUE de l’anguille dans l’histoire : Lockart lui même est une anguille. Il réussi à s’échapper de l’entreprise de Wall street, glisse à plusieurs reprises entre les mains du personnel du sanatorium…
    l’anguille ressemble d’ailleurs fortement à un serpent dans de l’eau…
    l’eau de la CURE “bienfaitrice”, et les anguilles/serpent du mal.

    Dernier CONTRAT : Lockart a signé (à ses dépends ? pas sûr…) un formulaire lorsqu’il arrive au sanatorium, qui finalement serait la preuve qu’il voulait y être soigné.
    Ce qu’il va faire…mais au final le sanatorium est détruit, et lui s’en va librement.
    le Sanatorium a été dupé lui aussi ?

    POUR CONCLURE :
    Lockart est une anguille, il se faufile entre les mains de ses ravisseurs, entre les difficultés.
    Grâce à l’anguille, le baron a pu mettre au point un elixir de vie.
    Grâce aux anguilles, la fille a survécu.
    Lockart est le seul qui a subi le traitement avec les anguilles, et qui arrive pourtant à sortir de sa torpeur, alors que les autres pensionnaires sont tous soumis.

    A mon sens, Lockart est le diable ou un démon. Une anguille/serpent qui représente le mal. Il conclu des pactes (contrats de travail, contrat pour aller chercher Pembrock, contrat pour se faire soigner), qu’il honore, mais toujours aux dépens des personnes avec qui il a signé.

    On peut se dire que le diable a signé un pacte avec le barron pour avoir la vie éternelle : au prix de perdre son visage.
    un pacte pour qu’il puisse se marier avec sa soeur : au prix qu’elle brûle.
    un pacte pour qu’il puisse avoir une descendance pure : au prix qu’à l’âge adulte, elle lui revienne, à lui seul. Ce qui explique pourquoi les anguilles n’attaquent pas la fille… et s’appaisent quand elle saigne…elle a eu ses premières règles, elle est une femme à présent.

    On peut donc se demander si Lockart n’a pas provoqué tout cela uniquement dans le but d’aller finir le travail d’il y a 200 ans et pour récuperer ce qu’on lui doit : la fille vierge.

    Cela explique les “visions” de la mère, qui finalement ne sont peut être que les projections de Lockhart/diable pour la torturer, la laissant dans un mouroir, et lui donnant des visions de la danseuse/fille qu’il attend depuis 200 ans… C’est une façon de patienter pour lui…
    Son père qui se suicide alors que Lockart/diable est présent.
    Le feu qui est présent tout le long du film en opposition avec l’EAU “bénite” de la cure…
    On lui enlève des dents, mais elles sont encore là finalement…
    A t il seulement eu la jambe brisée ? on lui a fait croire ? ou cela lui a t il servi un temps, puis il a choisi d’enlever le plâtre lorsque cela ne servait plus son intérêt ?
    Il est la tentation : il fait en sorte que la fille le suive en ville…Elle se met à danser de façon langoureuse dans le bar…elle goûte de la bière pour la première fois…elle a envie de se maquiller…Elle fini par devenir une femme…
    Et si finalement, le sourire de Lockart lorsqu’il part avec la fille en laissant Wall street et le baron derrière lui, n’était pas qu’un sourire de soulagement…mais bien un sourire diabolique ?

    voilà désolé d’avoir été long, mais je voulais être le plus exhaustif possible pour expliquer ma théorie.

  11. dernière précision et je m’arrête là : on peut se dire que diable/lockhart a manigancé le fait d’aller au sanatorium, car à l’origine ce n’est pas lui qui est choisi pour aller chercher Penbrock, mais son collègue qui fait justement, tout à fait par hasard, une crise cardiaque juste avant de se voir confier cette mission…
    Lockart le sait (il le dit au conseil) et Pembrock lui même est surpris que ce soit lui qui soit venu et pas son collègue…
    voilà j’arrête de saouler !

  12. Je pense que l’eau dans la nappe sous le château est sale (jaune) et je suis pleine d’anguilles. Le docteur force ses patients à la boire avec le tuyau dans la trachée pour utiliser leur corps comme un filtre qui purifie l’eau : de cette eau filtrée, il extrait un élixir très puissant mais de seulement quelques gouttes car très pur et le reste, moins pur, est déversé dans la caverne : dans cette eau, il reste des embryons d’anguilles qui sont passés à travers le filtre organique du corps humain. Dans la caverne, ils grandissent et cela explique la présence des anguilles dedans. Par ailleurs c’est cette eau que l’institut puise et fait boire aux patients, d’où la présence au début du film d’un embryon d’anguille que Lockhart trouve dans son verre d’eau.

  13. « Est pleine d’anguilles » désolé erreur de frappe.
    Et je pense que Lockhart est le diable incarné car depuis son enfance, il voit la mort de près : son père qui se suicide, accident de voiture grave, la mort du cerf. Il côtoie la mort de près et le petit garçon dans le train qui dessine un diable rappelle que Lockhart est le diable incarné depuis son enfance mais il ne le sait pas. Cette ignorance de Lockhart, ce flou dans sa tête mais auquel il ne peut apporter des réponses car il n’en a pas conscience, c’est la même ignorance, le même flou qui existe dans la tête du spectateur, qui ne sait pas si la scène qu’il a vu était réelle ou si c’était une vision diabolique telle que perçue par Lockhart. Et en réalité, aucune réponse ne peut être apportée de façon certaine, on ne saura jamais. La seule chose sûre, selon moi c’est qu’il est le diable, d’après le sourire narquois et diabolique à la fin du film. Le fait qu’il n’en ait pas lui même conscience est l’ignorance du spectateur sur la véracité de ce qu’il a vu.

  14. C’est fou comme vous avez tous oublier le fils du docteur de la ville qui dessine et donc prédit l’incendie du château voila

  15. Le fait que le héros arrive à changer de pantalon sans que son super plâtre géant ne le gêne n’a donc choquer personne ? ? ?
    Ma théorie, c’est qu’il n’y en a pas, et que comme souvent aujourd’hui le réalisateur n’ayant pas imaginer de fin plausible, par dans tout l’essence et laisse le spectateur chercher une explication alors qu’il n’y en a pas.

  16. Vraiment désolé pour les fautes d’orthographe du message précédent, j’ai dicté ce dernier à mon portable

  17. Bonjour tout le monde,
    J’arrive un peu la bataille il est vrai.

    Je travaille dans le milieu médical. Ce sera peut être une déformation professionnelle mais j’ai une théorie complètement folle à vous proposer.

    Le film parle beaucoup de maladie. Comme nous savons tous, c’est surement ignoble de le dire mais la maladie rapporte…les industries pharmaceutique et j’en passe.

    Ici je vois juste une projection narée de notre monde actuel.

    Commençons par la maladie:
    Le film parle des expériences faites sur les paysans…dans la vie réelle nous sommes de bons cobbaye le petite peuple…

    Les traitements contre le cancer ? Ils essayent plusieurs protocoles pour trouver LE traitement adapté à vous, traitements qui soignent d’un côté votre cancer et qui de l’autre détruisent d’autres fonctions (pertes des cheveux, foie qui s’abîme, brûlures de la peaux par la radiothérapie…) Si vous ne répondez à aucun traitements il se passe quoi ?! On vous envoie en “recherche clinique”, on vous fait signer une décharge et un consentement…vous devenez des cobbayes de votre plein gré car la mort et la souffrance font peur et que chacun a envie de vivre. -ça vous rapelle rien ? 200 ans que le château à brûlé et que le baron et la fillette sont toujours là, rallonger la vie en luttant contre la maladie…tiens donc…-

    La chirurgie esthétique:
    La peur de vieillir, la course à la beauté, l’envie de rester jeune par tous les moyens (ravalement de façade avec les liftings, blanchiment dentaire, prothèse dentaires, facettes -tiens donc les dents et la face que nous voyons dans le film, vilaines dents manquante puis jolies dent toute neuves, le baron a plutot bonne mine pour un vieux chnoque de plus de 200 ans dis donc-)

    La société “parfaite”
    Ah notre belle société où chaque personne veut se montrer sous sont plus beau jour aux yeux des autres tout en cachant sa vilaine noirceur… (oui le sanatorium propose une bonne cure revigorante mais dans le fond c’est de la pourriture par excellence, les gens y meurent ! Tiens donc cela me rapelle deux choses…les maisons de retraites où les familles payent une fortunes pour que leurs aînés soient soignés, ces jolies maisons de retraites qui affichent de jolies photos des aînés souriants le long de leurs murs mais qui n’hesitent pas à les laisser la journée dans leurs couches pleines de pisses. Et oui faut pas se leurer…vous payez pour 6 protections urinaires par jours mais en réalités, vos pauvres parents ne sont changés que deux fois par jours…manque de temps, manque d’effectif, restrictions budgétaires…vous payez selon la dépendances de vos aînés mais finalement ils ne reçoivent pas plus de soin que les autres…on torche le cul le matin, on leurs fourgue de la bouffe dans la bouche sans leurs laisser le temps d’avaler, mélanger l’eau gélifié à la nourriture alors que c’est censé être leurs sources d’hydratation juste pour “que ça aille plus vite”, et quand ils ne vont pas assez vite pour manger la phrase magique “ah vous n’en voulez plus ?! OK !” Et plus personne au chevet de votre aîné, on passe à quelqu’un d’autre…quel rapport avec le film me direz vous ? Question de fric (sanatorium pour les friqués, belle image (ils vendent du rêve, celui de se ressources), sucer les comptes des familles jusqu’à la mort ( les corps des morts momifié et déséché)

    Maintenant les vices:
    L’alcool (bière dans le film), la dépendance aux médicaments (elixires dans le film), la cigarette, la bouffe (à outrance sur les tables)
    C’est un clin d’œil aux vices et problèmes que rencontre notre société actuelle. Certains pense que celà les aident à tenir bon tel des béquilles dans leurs vies difficiles. Regardez les clochards, souvent ils disent boire pour oublier ou se tenir chaud alors que ce qui se passe réellement c’est qu’ils s’enfoncent d’avantage.

    J’ai relevé encore plein de choses qui me donne envie de dire que le film dans un sens reflète juste notre société actuelle, certes de façon complément imagée mais en tout cas c’est comme celà que moi je perçois le film.

    Je ne prétends en aucun car que je détiens la vérité mais c’est ma propre impression et perception du film. Je suis peut être totalement à côté de la plaque mais c’est comme cela que le film me fait écho.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Article précédent
brimstone_koolhoven_film

Explication du film BRIMSTONE de Martin Koolhoven et critique

Article suivant
your_name_kimi_no_na_wa_affiche

Critique de Kimi No Na Wa (Your Name) de Makoto Shinkai

Articles sur le même sujet