Les diamants sont éternels de Guy Hamilton (1971)

Sean Connery en James Bond

Après l’échec de Georges Lazenby dans la peau du célèbre espion britannique, nous assistons donc au retour de Sean Connery dans la saga James Bond. Et avec lui, on retrouve tous les ingrédients du genre.

Synopsis
James Bond se lance à la recherche d’un trafiquant de diamants, à Amsterdam, et se retrouve face au terrifiant Blofeld. Ce dernier est en passe de finir la construction d’un gigantesque laser d’une puissance terrifiante, à l’aide de tous les diamants qu’il a rassemblés, pour détruire Washington.

Critique

Les Diamants sont éternels est le retour du James Bond que l’on aime. Un peu misogyne, beaucoup de classe. Définitivement, Georges Lazenby n’arrivait pas à la cheville d’un Sean Connery, même vieillissant. C’est avec plaisir que l’on retrouve notre Bond historique dans cet épisode qui retrouve la réussite des précédents.

Car toutes les clés d’un 007 réussi sont là : Blofeld est machiavélique et fait preuve de supériorité (il ne pourchasse plus lui-même Bond). Sa base secrète est une réussite et enfin, last but not least, la James Bond Girl, changeant en permanence de camp, reste une James Bond Girl (Bond ne se mariera pas avec).

Le film ayant pour thème l’espace et les diamants, les effets spéciaux sont bien réussis pour l’époque et l’histoire est bien prenante. Finalement, on se retrouve dans une “mise à jour” d’un Opération Tonnerre (premier épisode de la “trilogie Blofeld”) avec tout le plaisir associé. A la fin du film, on se dit : “Enfin un vrai James Bond qui revient”. Et on ne croit pas si bien dire.

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