Oui, je sais, vous surkiffez mes jeux de mots désopilants qui vous permettent d’oublier un temps les mièvreries niaises dont Laurence Maseratti et Jean-Ricard Pernod vous assoment tous les jours : ne me remerciez pas, voyons, it’s my pleasure. Et j’en viens aux fêtes. Parce que youpiiiiii, quoi ! “God Bless America” a failli détrôner… Poursuivre la lecture Critique de God Bless America, le film qui tue.