« Prince of Persia : les sables du temps » de Mike Newell

Dastan, Prince Perse de sang non noble ayant été adopté par la famille royale dans sa jeunesse, est victime d’une machination qui lui met à dos la prise d’une ville sainte pour un faux motif et l’assassinat de son père pour lequel il n’y est pour rien. A l’aide d’une dague permettant de changer le cours du temps, il va essayer de laver son honneur et de sauver l’empire de Perse.

Un film d’artisan complètement désintéressé et dépourvu d’ambitions artistiques qui se contente de faire le minimum requis, sachant pertinemment que, bon ou mauvais, le film remportera un succès garanti par les fans déjà conquis du jeu vidéo et par la propagande promotionnelle qui annonce ni plus ni moins qu’un nouveau «

Par Redak

Redak n'est autre qu'un surnom original pour dire que cet article a été rédigé par l'ensemble des têtes (plus ou moins bien) pensantes d'Oblikon.

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