Critique d’American Honey

Andrea Arnold nous parle d’une jeunesse en marge dont la fougue du cœur, instinctive et rebelle, a décidé de s’exprimer en chœur avec les pénibles contraintes de la vie d’adulte. Dans les films d’Arnold, cette vie d’adulte intervient toujours trop tôt. C’était déjà le cas dans Wasp, oscar du meilleur court-métrage en 2003, où Zoé, jeune… Poursuivre la lecture Critique d’American Honey