Dennis Hopper est une légende. Il est mort d’un cancer de la prostate le samedi 29 mai 2010 à l’âge de 74 ans.
Plutôt que de revenir sur sa filmographie en tant qu’acteur (beaucoup de rôles dans des séries B et quelques très bons rôles de méchants) ou même en tant que réalisateurs (quelques bons films), je préfère aborder ce qui a fait de lui une légende : les années 60, et son rôle dans la contre-culture de cette époque
Tout le monde connait sa première réalisation, représentative de son état d’esprit : le road-movie Easy Rider. Un film sulfureux et rebelle comme son auteur qui prône la liberté, la consommation de produits illicites et la belle musique.
Voici un petit extrait de l’un des road-movies les plus culte de tous les temps :
https://www.youtube.com/watch?v=mHGLBy2CdjI
Mais Dennis Hopper dans les années 60, ce n’est pas que le cinéma. L’homme a tout d’abord été un brillant photographe travaillant pour Vogue et Harper’s Bazaar. Il réalise des photographies sur des sujets très variés et notamment quelques personnalités comme Martin Luther King ou encore Andy Warhol. Ses travaux ont plus d’une fois été exposés.