Voir un Woody Allen est toujours jubilatoire même si les thèmes qu’il aborde restent la difficulté de vivre -et donc la psychanalyse ou autres planches de salut-, les séparations, la vieillesse, la mort… rien de bien gai de prime abord. Mais ici, on sourit, on rit des situations, des dialogues ciselés, des attitudes. Je pensais être déçue par ce dernier cru du réalisateur le plus européen qui soit et bien au contraire. J’ai apprécié ce dernier opus tourné à Londres et ses personnages
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