Voir un Woody Allen est toujours jubilatoire même si les thèmes qu’il aborde restent la difficulté de vivre -et donc la psychanalyse ou autres planches de salut-, les séparations, la vieillesse, la mort… rien de bien gai de prime abord. Mais ici, on sourit, on rit des situations, des dialogues ciselés, des attitudes. Je pensais être déçue par ce dernier cru du réalisateur le plus européen qui soit et bien au contraire. J’ai apprécié ce dernier opus tourné à Londres et ses personnages
Articles sur le même sujet
Critique de Black Storm (Into The Storm) de Steven Quale
Tout le monde se souvent de Twister (1996), certainement le plus connu (et le meilleur) des films de…
Critique de la série Powers Saison 1
A l’occasion de la sortie en DVD de la première saison de Powers, série Brian Michael Bendis et…
Critique de Flesh and Bone
Lancée le 8 novembre sur Starz, Flesh and Bone est imaginée par Moira Walley-Beckett, ancienne productrice de Breaking…
on aime les analyses poussées comme celle-ci