Cloud Atlas : explications et analyse du film

Cloud atlas

Les grands thèmes de Cloud Atlas : La révolte

Un des thèmes principaux de Cloud Atlas est la notion de révolte, de dépassement des interdits afin d’affirmer sa liberté, et par cela même amener le changement, le progrès.

Les personnages qui sont animés par cette volonté de rébellion, cette envie de monde meilleur sont ceux qui sont marqués par le signe de la comète. Nous allons donc voir quelles sont ces marques de rébellion durant les époques :

1849

Ici, la société est rongée par le mal de l’esclavage (symbolisé par Haskell Moore). Mal contre lequel va se battre Adam Ewing, devenu ami avec Autua durant la traversée du Pacifique. Après avoir sauvé la vie du Maori sur le bateau, Ewing consacrera la sienne à se battre contre l’esclavage, bataille qu’il gagnera indirectement avec l’abolition de l’esclavage proclamée par Abraham Lincoln en 1863.

1936

Le mal qui ronge la société est alors le fascisme. Bien qu’il ne soit pas directement abordé, on le voit en la personne de Tadeusz Kesselring (toujours incarné par Hugo Weaving). Très bon ami de Vyvyan Ayrs qui se montre d’une intolérance totale vis-à-vis de ceux qui ne sont pas « normaux », ce qui inclus donc les homosexuels, et donc Robert Frobisher. Ne pouvant se battre directement contre cela, Frobisher décidera de mourir plutôt que de souffrir dans ce monde, ne laissant alors que ses lettres envoyées à Sixsmith…et le Cloud Atlas Sextet.

1973

Le mal contre lequel il faut se battre est ici le capitalisme et sa quête de pouvoir et d’argent, quelqu’en soit le prix (Bill Smoke – aka. Hugo Weaving n’est autre que son homme de main). Le prix est ici la vie de nombreuses personnes, dont Isaac Sachs et Luisa Rey et le mensonge. Mensonge consistant à vendre comme propre une énergie nucléaire qui a la capacité de contaminer le monde entier. Monde d’ailleurs contaminé en 106 après la Chute… est-ce un hasard ? Cette dissimulation de la réalité doit être montrée au grand jour, et c’est là le travail de Luisa Rey qui met sa vie en jeu pour dénoncer ce mal.

2012

Le mal ici représenté est la privation de liberté. Indirectement, on pourrait faire une extrapolation vers le monde actuel qui établit une sorte de « servitude  volontaire » à laquelle on se soumet, terrifié de sa propre liberté. Timothy Cavendish se soumet à la maison de retraite pour échapper au monde et une fois soumis, s’échapper est très dur, d’autant plus quand l’infirmière Noakes veille…

cloud_atlas_vieux

2144

L’univers de 2144 est un univers de science-fiction dystopique « classique ». Les hommes sont soumis à une réalité presque virtuelle où tout n’est qu’illusion (jusqu’à la décoration des appartements). Boardman Mephi (pour changer…Hugo Weaving) symbolise cette bureaucratie, finalement pas si éloignée d’un big brother de 1984 qui dirige le monde et s’arrange pour que tout aille comme prévu. Et c’est justement contre cette bureaucratie que se battent Sonmi-451 et Hae-Joo Chang. Ils veulent rendre les clones libres, qu’on les considère non plus comme des bêtes (qui se dévorent elles-mêmes), mais comme des êtres humains à part entière. Hae-Joo Chang brave d’ailleurs un interdit en ayant une relation sexuelle avec un clone.

106 après la Chute

Dans ce monde post-apocalyptique où vit Zachry, le danger revêt différentes facettes : Les Prescients qui sont des inconnus scientifiquement développés, donc dangereux. Les Kona sont quant à eux sanguinaires et cannibales, leur échapper est un besoin nécessaire de survie. Le troisième danger est un empoisonnement de l’environnement (à cause d’une guerre nucléaire ? D’une catastrophe ?) à laquelle tente d’échapper Meronym. Enfin, le dernier danger, et non des moindres est le côté sombre de tout à chacun, symbolisé par le vieux Georgie (Hugo Weaving). Réel diable niché en chacun de nous, se battre contre lui est un combat permanent, une lutte pour la liberté, la recherche de rédemption que mène Zachry avec l’aide de Meronym.

Ce qui est certain, c’est que ces révolutions, ces guerres pour la liberté survivent toujours à ceux qui les ont menées. L’esclavage et le fascisme ont été détruits, tout comme l’asservissement des clones…au prix visiblement d’une guerre.

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  1. Bonne explication qui met en lumière un bon nombre de points d’ombre que je n’avais pas compris. J’en viens à mieux apprécier le film grâce à cet éclairage. Une seule critique pour cette explication : les quelques fautes d’orthographe qui s’y sont glissées, tout comme dans la critique du film ^^

  2. L’infographie page 7 sur les personnages est incomplète.
    Il manque le personnage principal de la période 1936 : Robert Frobisher.
    Mais ça reste tout de même très instructif 🙂

  3. Pour ma part, j’ai vu en Cloud Atlas le récit de l’histoire du libéralisme. Ses débuts au XVIIIe siècle (époque des Lumières) où les hommes sont vendus par simple contrat (le droit au service du libéralisme) ; puis le XXe siècle qui en montre trois aspects : le droit sur la création musicale (chacun des deux compositeurs recherchent la reconnaissance), le complot des lobbystes du pétrole et enfin le profit généré par le scandale. En 2144 : c’est le point d’arrivée du libéralisme : la génération et la destruction d’êtres au service des consommateurs (retour à l’esclavage sous une autre forme). Puis la Chute inexorable. Enfin en 106 : c’est le règne de la loi du plus fort. Surtout un détail est intrigant : pourquoi le vieux Georgie est-il représenté comme une version maléfique de l’avocat qui arrive sur la plage au début du film (costume, chapeau haut de forme) ? Mon avis est que dans cette société post-archaïque, le mal est incarné par l’un des symboles de la cause de la chute, c’est à dire du libéralisme (l’avocat, le droit, le contrat)

  4. A propos de la notion de chute, vous en avez oublié. 1849, sur le navire ramenant Ewing des Chattams, Autua l’affranchi se charge de hisser la grand voile, et à chaque moment on sent qu’il pourrait chuter. D’ailleurs ils le disent : « C’est impossible, il va tomber » puis : « Allez, faites le tomber » grosso modo. Ensuite, en 1936 aussi, le thème de la chute est présent. En effet, la composition du Cloud Atlas Sextet est perçue par Frobisher comme une élévation, comme s’il s’évadait dans les airs, d’où d’ailleurs le titre de Cloud Atlas. Et pourtant, sa désillusion le fait chuter au point qu’il en devint mentalement malade. On peut le voir à sa volonté de se rendre dans ce monument élevés où il décide, en revoyant Sixsmith, de revenir à l’Hotel et de chuter finalement, dans son suicide.

    La chute est récurrente à toutes les histoires. Après, il y a quelques erreurs au niveau des lieux. Ces erreurs concernent l’île hautement symbolique. Ewing ne part pas, en 1849 de l’île présente dans la suite des récits. Il part des îles Chattams (Nouvelle-Zélande), et traverse le Pacifique, via Hawaii jusqu’à San Francisco. Ensuite, dans le reste des histoires, l’île apparaissant est Hawaii. Le Mauna Sol dont il est question à la fin n’est pas Sol pour Seoul, mais le Mauna Loa, dont le nom est déformé, tout simplement.

    Sinon très bonne explication du film 🙂

  5. Zachry sauve Meronym de la chute tout comme Adam Ewing sauve le clandestin de la chute au moment où il hisse la voile, et de surcroît, il me semble qu’au début du film, Robert Frobisher s’échappe de chez Sixsmith par la fenêtre ! Pour la page 4 donc, la chute est présente à chaque époque par lesquelles passe le film.

  6. Merci pour cette analyse très complète. Même si j’ai beaucoup aimé, j’étais un peu dans le flou en sortant, j’y vois désormais beaucoup plus clair !

  7. Malgré sa structure complexe, le message de ce film est complètement brouillon, ésotérique et très simpliste… De la philosophie du niveau d’un horoscope ou des prophéties de Nostradamus…

  8. Concernant 1973, la recherche du profit est le fait des lobbies de pétroles, pas du nucléaire, ils cherchent à provoquer un accident pour que le nucléaire apparaisse comme dangereux et que le pays recommence à privilégier le pétrole comme énergie principale.

  9. Je pense qu’il y aussi une réflexion sur la position de la femme. En 1849 lors du dîner cela est brièvement abordé, on parle de l’esclavage et la dame à table en profite pour connaître leur avis sur la position de la femme. Tilda choisit aussi de se rebeller à sa manière en tournant le dos à sa famille et en suivant son mari (elle suit un homme mais dit bien « toute ma vie j’ai eu peur de toi » à son père, à ce moment elle prend son essor et ose se libérer des conventions). En 1936 c’est moins évident, reste surtout les réflexions de Robert F. sur les femmes, sinon le personnage de Halle Berry est aussi prisonnière d’une certaine façon d’un mariage qui ne la rend pas heureuse, elle dit que Robert F. a « apporté » de nouveau la vie à cette maison », quand une histoire d’amour impossible aurait peut être pu la rendre heureuse sans les origines des 2 amants potentiels. Tromper son mari avec son copiste pour l’époque, je suppose que c’est aussi une forme de libération. Ensuite en 1973, Halle Berry est une journaliste, c’est un très bon exemple de l’émancipation féminine comme il l’est d’ailleurs rapporté dans le film. C’est une jeune femme forte qui se bat pour ses idéaux et qui ne laissent pas tomber même si ça vie est en péril. Avec le personnage de Tom Hanks elle mène aussi, fumant ostensiblement quand lui ne sait pas, posant les questions directement et sans fards. On retrouve aussi la nièce de Sixsmith diplomée d’une grande université. Que les deux jeunes femmes aient si bien réussi à cette époque malgré leur origine est aussi un message important je pense (d’une manière générale le film rassemble tellement de différence que c’est un bel appel à la tolérance). En 2144, on retrouve Sonmi, femme objet, privée de libre arbitre depuis toujours, conçue et programmée pour travailler, servir des repas, accepter les comportements crapuleux sous prétexte que le client est roi, agir selon le bon plaisir de leur dirigeant. C’est une autre clone qui éveille sa conscience à un autre niveau, se libérant alors des conventions et des limites qu’on lui avait toujours imposées, ce contre quoi les femmes luttent toujours. Pour cette époque Sonmi est aussi l’initiatrice de la vérité, un symbole, un déclencheur. D’ailleurs dans l’époque suivante, sa place est aussi importante, c’est devenue une déesse, un messager, un symbole et une force auquel se réfère tout un peuple. Sa parole est prêchée par une femme et d’une façon générale Zachry est entouré de femmes. Alors que son beau-frère et son neveu meurent dès le début, sa nièce survivra et parmi tous ses petits-enfants, c’est une fille qui reste l’aider et le questionner. La femme est identifiable comme personne avant tout même si on retrouve aussi la notion de mère et de fécondité. Le père de Tilda mentionne des potentiels futurs petits-enfants quand il demande de rester. De part sa relation avec Robert F. et la présence de celui-ci dans sa demeure, Jocasta sentira naître une vie nouvelle dans sa maison. De plus une union entre elle et le chef Tadeusz Kesselring est impossible de part leur origine, le résultat ne serait pas conforme à la norme exigée alors par la ssociété allemande.En 1973, avec l’émancipation de la femme, le rôle de la mère est mis en retrait, les personnages s’occupant alors d’un petit voisin (mais s’inquiétant tout de même de sa sécurité et d’une certaine façon participant à son éducation) ou d’un chien. Cela dit la relation parent-enfant est fortement mise en avant avec le rappel du père omniprésent et les liens entre Sixsmith et sa nièce. 2144 est l’époque des clones, la vie ne naît plus seulement des utérus même si celle-ci est considérée plus pure (« pure sang »), la femme n’est plus une machine à faire des bébés, des machines font des bébés. Ce rôle de la femme n’est pourtant pas abandonné et l’origine féminine de la vie en ferait un gage de qualité, survie et liberté tandis que les clones ne sont pas libres et voués à mourir précocement quand le temps est venu. En ayant des rapports, Sonmi et son sauveur transgressent de nouveau interdits et soulèvent de nouvelles interrogations sur la vie. Sonmi est aussi la mère des survivants de l’après Chute, elle les guide et leur donne espoir, force et courage (Zachry se rappelle les mots divinatoires quand il est confronté à la part sombre qui l’habite et auquel il ne cède alors pas). On peut voir le rôle de parent de Zachry et de sa femme, l’importance de cette dernière dans la maisonnée (l’accueil des invités, l’attention portée au mari via la fille aussi, et le soin aporté à sa vie malade ainsi que le « maman quand est-ce qu’on mange? », ) Enfin Meronym n’est pas en reste, elle se bat au départ seule en espérant sauver tout son peuple, malgré les mises en garde d’un de ses semblables elle est prête à y risquer sa vie (notion de sacrifice d’une mère ou d’un parent). Finalement si tous les enfants présents sont des petits ou arrière petits-enfants, on peut dire que les personnages de Meronym ont fondé une belle et grande famille, d’ailleurs elle veille au grain pour le coucher des enfants mais veille aussi sur son compagnon. Bref ce n’est pas le sujet/thème principal du film mais la condition de la femme, l’évolution de son rôle, de sa place, de sa vision et sa reconsidération sont aussi retrouvés à chaque époque et je pense que c’est aussi intéressant à relever comme les autres messages d’égalité, de tolérance etc…

  10. il y a un truc qui se repete dans les lieux

    c’est la centrale nucleaire en 1974 qui devient le lieu d ou la parabole envoie le message en 106 apres la chute et qui est aussi le lieu d ‘ou somni passe s’on message en 2144

  11. http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme

    En vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=Kn23kokvLRo

    Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux inaliénables, liberté, propriété, résistance à l’oppression,etc

    Donc, toujours selon le libéralisme, tous les humains sont égaux en droits, donc le droit de priver autruit de ses droits n’existe pas.

    L’esclavage, c’est des humains qui bafouent les droits d’autres, donc ce n’est pas libéral.

    Le lobbying, c’est des humains qui utilisent la force de l’état pour obtenir des privilèges sur les autres, donc c’est n’est pas libéral.

    En France la notion de libéralisme est mal connue voir déformée, on le confond avec la loi de la jungle, alors qu’au contraire le libéralisme est une théorie du droit très stricte donc ce fait l’écho la déclaration des droits de l’Homme de 1789.

    En consequence, puisque nous vivons dans un système qui bafoue de plus en plus les droits des personnes humaines, ce système est, contrairement à ce que l’on dit, de plus en plus… anti-libéral.

    Deux choses. D’un, une société avancée fini pas dégénérer en absence d’un état de droit suffisement moral et fiable. Donc une horreur technologique dictatoriale ça ne peut pas exister, ou pas longtemps. De deux un peuple qui voient son niveau de vie diminuer à cause des spoliations finira toujours pas se rebeller. En conclusion, shit happens, mais elle fini toujours par passer.

  12. Pour ma part je ne pense pas qu’il s’agisse de réincarnation, c’est trop simpliste, non je pense tout simplement que les mêmes acteurs incarnent toujours le même rôle, le bien, le mal, le modéré, et donc rien de plus évident que de mettre les mêmes acteurs pour exprimer cela sans avoir à développer les personnages dans chaque époque.
    Et puis la réincarnation à une connotation religieuse, alors que le film ne semble pas du tout aller dans ce sens, je pense notamment à la dernière époque où l’on voit que les personnes vivants dans la montagne croit en un dieu qui en fait n’existe pas, ce dieu a été filmé années auparavant, … 😀

    Egalement je ne suis pas sûr que cela ai été évoqué ici, mais pour moi le message clef du film est résumé à la fin du film « qu’est-ce qu’un océan ? si ce n’est une multitude de gouttes d’eau  »

    Quoique l’on fasse, du bien, du mal, même si cela nous semble insignifiant, cela à un impact sur la vie qui nous entoure, et cela se propage dans le temps.

    Pour moi c’est le message final du film, une vision optimiste, nous ne sommes pas qu’une goutte d’eau perdue dans un océan, mais la goutte d’eau qui constitue l’océan.

    Voilà c’est ma vision des choses, mais je veux bien croire que l’on puisse interpréter autrement 😉

  13. Il y a certes une contradiction entre « libéralisme » et esclavage. Mais, historiquement, celle-ci a été dépassée par la discrimination entre les sujets de droits (égaux entre eux) et les autres. Si l’on
    associe certains êtres humains à des sous-hommes, à des animaux ou à des choses, il n’y a plus d’incohérence. C’est ainsi que l’esclavage a pu se justifier (ce qui d’ailleurs n’est pas l’apanage du libéralisme, puisque l’esclavage était pratiqué à Athènes ou à Rome…)

    Le lobbying, techniquement, ce n’est pas l’usage de la force
    de l’état, puisqu’il se situe en amont de l’élaboration de la loi. Les lobbyistes font usage de leur liberté pour faire pression sur nos représentants, ce qui en soit n’est pas une pratique contraire à la doctrine libérale, même si elle en constitue un travers.

    Enfin, le libéralisme n’est pas plus mal connu ou déformé qu’une
    autre théorie politique, morale ou philosophique. Merci pour le lien wikipédia, je vous renvoie au livre de Pierre Rosanvallon sur le capitalisme utopique…

  14. Il y a un point également à soulever dans ce film : la
    cicatrice que l’on retrouve sur tous les protagonistes principaux du film :
    Pour la première époque, je n’ai pas réussi à voir qui l’a portait…mais
    ensuite on l’a retrouve sur Robert Frobisher (scène dans laquelle est nu
    avec Rufus), Luisa Rey (scène de l’ascenceur), sur Timothy Cavendish
    (quand il était jeune), sur Somni-451, puis sur Zachry ( à la toute fin du
    film, sur l’arrière de sa tête).

    Mais parler de réincarnation serait assez étrange, étant donné que Timothy Cavendish est née surement presque à la même époque que Luisa Rey.

  15. Est ce que qq un est parvenu à retrouver tous les détails d’une époque rappelant un époque passée? Comme les dents en 1849 et 2144. les marques de « liberté » en forme d’étoile filante. Et les manuscrits ou livres. Tel que le livre lu en 1936 par frobisher racontant l’histoire de 1849 ou encore le manuscrit (dont on voit juste la première page) en 2012 racontant l’enquête de luisa rey….et d’autres encore mais je n’ai pas tout vu…

    Je serais ravie d’avoir d’autres petits détails qui enrichissent encore plus ce film.

    Merci d’avance

  16. Ce film est bien plus profond qu’une niaise critique du libéralisme, il explore l’irrationalité de l’homme à travers le fait qu’il soit prêt à risquer sa vie dans le but de redéfinir ce qui le définit.

  17. Petit clin d’oeil encore : Jim Sturgess et Donna Bae sont également les parents de Megan, la nièce de Rufus Sixsmith. On les voit tous les deux avec leur fille sur la photo que Sixsmith montre à Luisa Rey dans l’ascenseur, et cela explique aussi pourquoi Megan est asiatique.

  18. Très intéressant, merci. Je crois avoir repéré une petite erreur factuelle : les « femmes-mobiliers », ce n’est pas dans « Soleil vert » mais dans « Orange mécanique »…

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