10 ans après le premier Transformers (et donc un rythme soutenu d’un nouvel opus tous les 2 ans), revoici nos amis Autobots, Dinobots et Decepticons jouant une nouvelle fois devant la caméra de Michael Bay (qui en est donc lui-aussi à son 5e Transformers).
Quoiqu’il en soit, ce nouvel opus de Transformers nous offre toujours autant d’explosions (d’ailleurs, le film commence avec des explosions marquantes… à l’époque du Roi Arthur !), de robots géants, de blagues potaches et de jolies filles. Pourquoi changer une formule qui marche, je vous le demande ! Cependant, ce Transformers investit malgré tout dans un univers élargi (on attend un spin-off sur Bumblebee, ainsi qu’une quinzaine d’autres épisodes selon les producteurs) et ouvre donc tout un nouveau champs des possibles. Oserons-nous parler d’un « Transformers-verse » ou Transformers Cinematic Universe (TCU) ?
Nul doute que c’est le but, surtout avec une licence aussi bankable. Notez que la moyenne des 4 premiers films tourne autour de 930 millions de dollars de chiffre d’affaire, ce qui pose la licence largement au-dessus d’un Hunger Games, au-dessus des Dark Knight de Nolan, et à deux doigts d’un Seigneur des Anneaux ou Harry Potter réalisant en moyenne 970 millions de dollar.
Bref, analysons toutes ces ouvertures vers le Transformers-verse / TCU et expliquons tous ces passages un peu brumeux (donc là où il n’y a pas d’explosions) de Transformers 5 – The Last Knight.
Evidemment, cette analyse est 100% SPOILERS !
Sommaire de cette analyse
Que deviens Optimus Prime et qui sont Nemesis Prime et Quintessa ?
Le mythe des Chevaliers, du bâton de Merlin et des Witwiccans
Explication de la scène de fin de Transformers 5
Les références dans Transformers 5 – The Last Knight
Lire la suite : Optimus Prime, Nemesis Prime et Quintessa
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Unicron… (c’est pas le grand-frère de Macron ?)