Wonder Woman : analyse du film et explications

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Wonder Woman : analyse d’une déception

Cela faisait des années que la gent féminine (et pas que) attendait avec ferveur qu’une grande franchise consacre enfin un opus à une héroïne de comics « badass » et inspirante après maintes et maintes productions dédiées à des super héros bodybuildés et stéréotypés à l’extrême. Aussi, dès lors que la firme DC annonça en 2016 la sortie prochaine de Wonder Woman, l’excitation fut à son comble : en effet, le personnage avait fait forte impression lors de son apparition dans Batman v Superman. Les attentes étaient grandes, tant par rapport au symbole que représentait ce film pour des millions de spectatrices que par le message positif qu’il allait passer aux petites filles (celles-ci pouvant enfin trouver un modèle de super héroïne à laquelle s’identifier).

Pourtant le film m’a énormément déçue. Sachant que mon point de vue sera loin d’être partagé par tous, je vais traiter plusieurs points du long-métrage expliquant à mon sens pourquoi le film n’est pas aussi bon que ce que les critiques semblent penser.

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Les personnages du film Wonder Woman

Wonder Woman

Tout d’abord l’héroïne, Diana Prince aka Wonder Woman. Elle est la fille d’Hippolita, reine des amazones, et par conséquent princesse héritière de ce royaume. Il s’agit de la seule femme à être née et à avoir grandi sur l’île paradisiaque ou ces guerrières puissantes se sont réfugiées et se trouve donc être la seule enfant présente dans cet univers. Elle est chérie et surprotégée par sa mère qui refuse de la mêler aux entraînements militaires des amazones à contrario de sa tante Antiope qui semble particulièrement sensible aux capacités innées de sa fougueuse nièce. Elle l’entraîne donc en secret avant qu’Hippolyta se décide à pleinement lui confier l’éducation guerrière de la jeune fille qui démontrera au fil des années des capacités au combat extraordinaires voire même divines.

D’après la mythologie du film, Diana se trouve être la fille de Zeus, pourtant si nous suivons ses origines dans les comics, elle semble plutôt être le résultat des amours d’Hadès et d’Hippolyta. Elle naquit de l’argile dans laquelle sa mère l’a sculptée afin d’y réfugier son âme  (le film semble plutôt suivre l’histoire des DC rebirth accordant sa paternité au roi de l’Olympe).

De par ses géniteurs, elle possède de puissants pouvoirs, mais ne semble les découvrir que très (trop) tard dans son éducation, chose plutôt étrange lorsqu’on grandit parmi les amazones, qui sont des êtres aux capacités surhumaines, soit dit en passant.

Diana est une guerrière et une érudite accomplie : son île rassemblant tous les savoirs terrestre et son immortalité aidant, elle a accumulé au fil des années (des siècles) des connaissances très poussées sur les humains (elle maîtrise de très nombreuses langues, qu’elles soient vivantes ou mortes et semble en savoir beaucoup sur la sexualité homme/femme), mais reste pourtant excessivement ignare face aux conflits et guerres parsemant notre monde. Elle est à la fois pleine d’esprit et de naïveté lorsqu’elle décide de se confronter à une Europe en pleine Première Guerre mondiale afin de se battre contre Arès, son ennemi juré, qu’elle considère comme seul responsable du conflit planétaire secouant les humains (Arès étant celui qui corrompt le cœur des hommes et amène la destruction).

Hippolyta et Antiope

Mère et tante de Diana, elles ont sur elle une influence considérable. Toutes deux grandes guerrières, et gouvernant le peuple exclusivement féminin des amazones, elles ont été, à l’origine, envoyées sur Terre par Zeus pour inspirer les humains et leur apporter l’amour et l’harmonie. Cependant, elles furent vite victimes des abus des hommes (inspirés par Arès) et devinrent leurs esclaves. Menant une révolte sanglante, Hippolyta et sa soeur libérèrent les femmes de leurs oppresseurs masculins. Zeus les établit alors sur une île cachée du reste de l’humanité où Hippolyta régna et offrit accueil, formation guerrière et quasi-immortalité à toute femme y ayant trouvé refuge.
Antiope détecte très tôt le potentiel de Diana et l’entraîne secrètement afin de le faire fructifier. Elle a vite conscience des capacités presque divines de sa nièce et veut la pousser vers sa destiné, à l’inverse de sa soeur, Hippolyta, qui cherche à préserver sa fille à tout prix. Lorsque l’île est découverte accidentellement et qu’elle se fait assiéger par des soldats allemands à la recherche de l’agent double Steve Trevor, Antiope perd la vie en voulant sauver celle de Diana. Celle-ci prend alors les armes et rejoint le monde humain, au grand désarroi de sa mère.

Steve Trevor

Agent double américain au service des secrets d’État britanniques, il a réussi à infiltrer le camp allemand et à dérober de précieuses informations pouvant permettre de faire basculer le court de la Grande Guerre. C’est en s’échappant avec fracas d’une base allemande et en se crashant dans la mer Méditerranée qu’il finit par découvrir accidentellement l’île cachée ou Diana a grandi. Son arrivée incongrue provoque la mort de plusieurs amazones. Il leur apprend les dangers et violences que le monde subit au-dehors. Diana y interprétant le signe des agissements d’Arès, elle oblige Steve à l’emmener sur le front afin de pouvoir mettre fin aux divers conflits secouant la Terre. Steve est un homme fier et bourré d’humour qui restera malgré tout assez paternaliste avec Diana, n’hésitant pas à la manipuler un peu pour qu’elle ne crée par plus de complications dans ses plans personnels. C’est un soldat investi, plutôt sensible et pourvu d’un grand sens de l’honneur. Il est vite charmé par le caractère fougueux de la jeune femme et se rapproche considérablement d’elle.

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La bande à Trevor (Samir, Charlie et Chief)

Ce sont les acolytes de Trevor qui ont tous l’air de tremper dans des magouilles pas très propres. Le premier est arnaqueur, le deuxième tireur d’élite porté sur la bouteille (mais en fait, trop traumatisé pour tirer à nouveau) et le troisième est un amérindien qui s’est fait voler sa terre et se dit qu’il ne sera pas plus mal loti en Europe. Il est cependant agréable de constater la présence de Samir dans le conflit, représentant les minorités ayant réellement combattu sur le champ de bataille. Ils accompagnent Diana et Steve dans les tranchées, les aident à libérer un village belge et à sauver Londres d’une attaque au gaz.

Etta Candy, la secrétaire amusante et attachante

Lors de son arrivée à Londres, Diana rencontre la secrétaire personnelle de Steve, Etta, qui se lance directement dans une opération relooking de la jeune femme afin de la rendre « présentable » (l’ensemble bustier/jupette n’étant pas particulièrement passe-partout  au début du XXe siècle). Cela donne lieu à une scène plutôt amusante et légèrement parodique. C’est elle qui guidera à distance l’équipe vers le général Ludendorff.

Le général Erich Ludendorff et Isabel Maru/Dr. Poison

Les méchants vilains-vilains du film. L’un est un général allemand hargneux et refusant la moindre défaite, l’autre est une scientifique folle dont on ne connait pas réellement les intentions, hormis le fait qu’elle souhaite empoisonner tout le monde en mettant au point des gaz destructeurs et fatals. Isabel Maru est une gueule cassée et porte un demi-masque de porcelaine. Cependant, les origines de ses stigmates ne sont jamais expliquées dans le film (ce qui est dommage). Les motivations de ces deux personnages restent très floues et sont finalement très stéréotypés. Le général Erich semble être aux yeux de Diana l’incarnation terrestre d’Arès. Elle cherche donc à le mettre hors d’état de nuire, alors que Steve Trevor, de son côté, cherche à empêcher Dr. Poison de mettre en place ses sombres desseins. D’ailleurs Erich Ludendorff gagne quelques capacités surhumaines grâce au gaz du surhomme inventé par hasard par sa grande amie scientifique et psychopathe (les Allemands et le gaz… une grande histoire d’amour). Il nous est d’abord présenté comme étant le boss final du film (Arès semblant n’être qu’un concept et non un réel ennemi à combattre).

Arès, un méchant facile

L’une des plus grosses faiblesses du film est son grand méchant, le dénommé Arès. Le dieu de la guerre et de la destruction est le pendant inverse de Diana, celui qui sème la discorde dans le coeur des hommes. C’est également le plus vieil ennemi des amazones, celui qui fut la cause de leurs tourments. Dans le film, il semble être à l’origine de la première guerre mondiale et Diana est persuadée qu’en le tuant, la paix reviendra sur Terre.

Arès a pris forme humaine sous les traits d’un premier ministre anglais (coucou le Remus Lupin sous stéroïdes) menant au premier abord les opérations de résistance de Steve Trevor et de ses acolytes, mais inspirant en secret les idées les plus folles et malsaines des méchants allemands. Et c’est là que le film rencontre sa plus grande difficulté.

Souvenez vous, dans Batman vs Superman, on rencontre une Wonder Woman désabusée ne voulant plus se mêler aux hommes tant elle a été déçue par ces derniers. Pourtant, elle se résout à rejoindre les deux autre super héros afin d’éliminer Doomsday. On penserait que le film ferait le lien avec son prédécesseur en expliquant pourquoi Diana s’est résignée à vivre cachée et à ne plus agir pour protéger autrui, mais non. Et cela peut s’expliquer par la représentation d’un ennemi trop manichéen. Certes, Arès est vraiment le gros relou de l’Olympe, mais il aurait été intéressant de le voir agir dans tous les camps du conflit, semant la pagaille absolument partout sur Terre au point d’écoeurer Diana. Mais malheureusement, il semble plus simple de faire en sorte qu’il n’agisse qu’au côté des grands méchants Allemands, alors que la Première Guerre mondiale fut avant tout provoquée par des jeux d’alliances menant l’Europe dans une véritable boucherie pendant 4 ans (à l’inverse de la Seconde Guerre mondiale que l’Allemagne déclencha dans un désir d’imposer sa suprématie sur le vieux continent. D’ailleurs la plupart des spectateurs ne se rendent même pas compte que l’action avait lieu en 1918 tant les intentions du film sont foutraques).

Des intentions qui ne fonctionnent pas

Il n’y a pas de réelle nuance entre le « bien » et le « mal » dans le film et cela donne lieu à des scènes plutôt gênantes comme lorsque le général Ludendorff et le Dr. Poison ricanent comme les bons gros vilains qu’ils sont après avoir gazé de hauts dignitaires allemands voulant signer l’armistice (parce qu’on veut la suprématie Allemande partout et qu’il faut taper du gentil, merde quoi !). Les motivations sont floues, et hormis le fait qu’Arès veut amener le chaos sur Terre parce qu’il est le dieu de la destruction, eh bien… Il n’y a pas grand chose à développer : on n’explique pas ce qui pousse Isabel Maru à fabriquer des gaz meurtriers, on ne connait rien de son passé, la haine qui l’habite est difficilement compréhensible. Elle est d’ailleurs épargnée par Wonder Woman (pourquoi ? On ne sait pas) qui n’hésitera pas, à contrario, à embrocher Ludendorff. Le général allemand a encore moins de raisons valables d’agir et n’hésite pas à décimer des civils et des soldats par pur sadisme, n’étant obsédé que par la puissance de son pays. Hormis le fait qu’ils semblent particulièrement inspirés par Arès (qui s’obstine à ne vouloir choisir qu’un seul camp), les méchants n’ont pas de motivations réellement intéressantes, qui tiennent la route : ils sont vilains parce qu’ils ont envie de l’être et puis c’est tout.

Incohérences du film

Plusieurs éléments du film posent problème, en particulier les nombreuses incohérences qui s’accumulent tout le long de l’intrigue. Tout d’abord, le fait que Diana découvre ses capacités surnaturelles sur le tard alors
qu’elle est d’engeance divine. Elle devrait alors avoir du mal à maîtriser ses pouvoirs, cependant, elle semble s’y acclimater très rapidement. Ensuite vient le problème des amazones ; malgré leurs capacités surhumaines
et leur immortalité dus à leur exil sur cette île paradisiaque cachée, elles se font très aisément tuer par des soldats allemands bien moins expérimentés qu’elles (chose étrange étant donné qu’elles ont été crées par Zeus lui-même). On peut cependant donner le bénéfice du doute à la présence des fusils et revolvers, inconnus sur l’Olympe.

Ensuite, Diana reste une personne excessivement naïve malgré le fait qu’elle soit excessivement instruite : dans son royaume, elle a accès à toutes les connaissances terrestres existantes, et doit normalement avoir eu vent de toutes les guerres et conflits ayant pu égratigner le monde aux travers des millénaires. Le fait qu’elle impute l’origine de la Première Guerre mondiale à Arès est alors malvenu : elle croit dur comme fer à sa théorie, qui est présentée au départ comme plutôt foireuse (surtout aux yeux de Steve Trevor). Elle est alors très vite infantilisée, ce qui est plutôt étrange étant donné qu’elle a plusieurs fois l’occasion de faire étalage de son savoir. Il est normal qu’elle découvre notre monde avec des yeux « d’enfants », mais il est moins compréhensible qu’elle ne comprenne pas les réels enjeux de cette guerre. Qui plus est, si on suit sa théorie à la lettre, Arès agirait lui aussi depuis des siècles et partout dans le monde. Pourquoi être alors persuadée que c’est lui qui a déclenché cette guerre là en particulier ?

Autre incohérence concernant cette fois-ci l’épée de Wonder Woman, la « God Killer » présente dans Batman vs Superman alors que l’arme est détruite, très aisément, par Arès au cours du film. D’ailleurs cette épée semble être un artéfact magique plutôt puissant. Comment la retrouve-t-elle par la suite?

L’un des sujets les plus problématiques est la façon dont la Première Guerre mondiale est traitée dans le film : nous sommes en 1918, on s’enlise dans les tranchées, toutes les nations sont à bout de force, et la victoire des alliés est en grande partie due à l’aide américaine. Les tranchées sont normalement des zones de guerres difficilement atteignables et s’étendent sur plusieurs centaines de kilomètres. La présence de civils est tout bonnement impossible et les villages aux alentours étaient évacués et convertis pour la plupart en arrière-postes de guerre. Dans Wonder Woman, les civils semblent être tout juste en train de quitter les zones sinistrées et on en trouve également dans les tranchées (chose improbable, les civils devant rester à « l’arrière » pour soutenir l’effort de guerre). Diana traverse donc une tranchée avec ses acolytes de manière aisée (malgré le fait que des obus et autres engins explosifs devraient se trouver étalés partout sur le no man’s land) et libère en deux temps trois mouvements un village belge que ses habitants repeuplent le soir même. C’est une vision malheureusement trop simpliste de la guerre des tranchées qui aurait mérité un traitement bien plus approfondi.

Des stéréotypes parfois assez inattendus

Le plus gros stéréotype touche avant tout les allemands qui incarnent une forme de nazisme avant gardiste, ce qui devient assez lassant à la longue. Ils sont forcément mauvais, ils veulent forcément tuer le plus de gens possible, alors ils sont forcément corrompus par Arès (qui d’ailleurs n’a pas non plus de motivation intéressante à proposer). Cette vision ultra réductrice est assez pesante et c’est là que l’on sent clairement l’influence du gros blockbuster américain. Un développement plus subtil concernant les faiblesses des deux camps aurait été une option intéressante, étant donné que seuls les britanniques ont l’air d’êtres humains doués de sensibilité dans ce film.
Autre stéréotype, cette fois-ci plutôt inattendu, la présence de Chief, un amérindien dans les zones de guerre européenne, auquel on fait faire… des appels de fumée… Sérieusement ? Hamir est quand à lui un arnaqueur et beau parleur. Et Charlie un alcoolique notoire. Sympa pour les tunisiens et les écossais. La relation entre Diana et Steve ramène elle aussi son lot de casseroles : malgré la supériorité de la guerrière sur l’espion, on finit quand même par se retrouver dans un schéma relationnel où Steve infantilise parfois Diana. D’ailleurs, est-ce que quelqu’un pourra un jour m’expliquer pourquoi dans les films DC, dès qu’un homme avoue son amour à un femme, il finit par se lancer dans une mission suicide ?

Les enjeux du film fonctionnent difficilement, et la résolution est en somme assez classique (Londres est sauvée d’une attaque de gaz mortel), en définitive on s’ennuie pas mal et le film passe à côté d’une histoire réellement pertinente.

Wonder Woman : analyse et explication d’une fin vraiment décevante

wonder_woman_film_2017_coverLe film se termine avec le combat dantesque entre Wonder Woman et Arès (qui explosent tout sur leur passage) et le sacrifice héroïque de Steve Trevor qui fait sauter en haute altitude l’avion rempli  de gaz meurtriers dans lequel il se trouve. Diana est en très mauvaise posture, la puissance d’Arès la submergeant totalement. C’est en constatant la mort de Steve que la jeune femme exprime pleinement son potentiel et réussit à vaincre son adversaire grâce au pouvoir de… l’amour. Et oui, encore un gros cliché : l’amour contre la guerre et la destruction gagne toujours (sachant que Diana devrait normalement être assez déçue du genre humain à la fin du film, cela ne fonctionne pas vraiment). Cette résolution donne lieu à une scène encore plus banale et blasante : une fois Arès vaincu, le soleil se lève immédiatement sur la base et les soldats allemands débarrassés de l’influence néfaste du dieu tombent directement dans les bras de leurs adversaires avec un grand sourire aux lèvres. Boum, c’est la fin de la guerre, youpi tralala, la paix est revenue sur Terre en une nuit. Pourquoi une fin aussi manichéenne ?

À propos des acteurs

L’interprétation de Gal Gadot n’est clairement pas transcendante, certainement à cause du manque de profondeur évident de son personnage (trop simpliste et lisse), ce qui est dommage car il était plutôt intrigant dans Batman vs Superman. À l’inverse, Chris Pine est l’un des meilleurs éléments du film, assurant la caution humoristique de l’intrigue.

Au final, on peut reprocher au film les mêmes faiblesses que ses prédécesseurs : complexée par le Marvel Cinematic Universe, la firme DC Comics tente de rattraper son retard en produisant des films rapides, faciles et dont le vernis cache difficilement les trop nombreux défauts (dont Marvel n’est pas exempt), ce qui est relativement dommage. En effet, les développements très intéressants et intrigants qui ont pu être présentés passent très rapidement à la trappe afin de produire des films simplistes et commerciaux qui ne fonctionnent pas vraiment alors qu’ils auraient le mérite de révolutionner leur genre. Encore un effet de pétard mouillé.

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11 commentaires
  1. Logique que Wonder Woman soit différente dans son film car elle a toujours vécu en autarcie sur son île, elle ne connait pas encore le monde des humains et elle n’a pas la sagesse, l’expérience et la maturité comme dans BVS.

  2. Critique présentant un opinion diffèrent de la plupart…mais bien construit et logique.
    Le pouvoir de l’amour pour vaincre les méchants allemands…c’est vrai que la si on est pas dans le cliché.

  3. Quand est il des pouvoirs de foudre que possède Ares, ne sont ils pas attribués à Zeus ?

  4. Ha ca fait plaisir !!! As-tu eu d’autre impression du genre ?
    Au début quand la mère raconte l’histoire des dieux, Ares n’utilise jamais la foudre, comment a-t-il pu s’approprié ce pouvoir ? Ou n’est-ce qu’un aspect symbolique ?

  5. Bonjour!
    Et bien je trouve cette critique bien pertinente, mais un peu sévère au sujet de Gal Gadot!
    Moi je l’ai trouvée parfaite dans ce rôle à multiples facettes, oscillant entre ingénuité et rigueur morale.
    J’ai particulièrement apprécié la scène ou d’un simple regard, elle convainc Steve de rester dans sa chambre…
    Sinon, la fin est decevante, le duel final ne restera pas anthologique (finalement est-ce si grave?).
    Et effectivement, comment récupère-t-elle son épée détruite???

  6. Bien d’accord avec Judomer, vous êtes dure avec Gal Gadot. Elle est magnifique et seule la scène dans le village gazé m’a parue surfaite.
    La fin est vraiment décevante : gros méchant, combat trop long, “ça explose partout”, “moi je crois en l’amour, pouvoir des fleurs”… Mais le reste du film est sympa, l’histoire de Wonder Woman est intéressante bien que pas à 100% cohérente.

  7. Une très mauvaise critique bourrée d’erreurs…

    – les deux version de la naissance de Diana sont valides, plus ou moins, non elle n’a pas été sculptée dans l’argile, c’est un bobard qu’Hyppolite raconte a sa fille pou ne pas lui dire la vérité, elle a couché avec Zeus (qui a eu beaucoup de maitresses) et Diana est sa fille, elle de doit pas le savoir sinon ses pouvoir se manifesterons (se sont ses émotion qui les déclenchent) et si elle utilise ses pouvoir Arès pourra la sentir , et toute l’ile sera en danger

    – par le force des choses les amazones sont lesbiennes, (Diana est bi) a la mort d’Antiope ont voit très bien sa compagne se précipiter à son chevet et le fameux traité de Clio (la muse, des chroniques historiques) en 12 volume en parle aussi

    – les amazones ont déjà rencontré des hommes , (les hommes les ont trahis) mais elle sont coupée du monde depuis les temps mythologiques, elle ne savent absolument rien de la géopolitique moderne

    – les amazones sont bien immortelles, mais pas complètement, elle peuvent mourir de mort violente, pour Diana on ne sait pas, c’est une demi déesse, elle peut voler, donc ont ne sait pas…

    – chief est bien plus qu’un indien normal… (easter egg) il est Appi un des Dieu des Blackfoot d’Amérique du nord, qui sera connu par la suite sous le nom de Lone Shadow

    – le nouveau gaz moutarde a base d’hydrogène et le gaz booster du docteur poison n’ont pas été inventé par elle ce sont des formules soufflée à son oreille par Arès…si on extrapole elle est même bien plus manipulée que ça et pas si peut être pas si douée la chimie qu’on ne le pense… elle a quand même été défigurée à cause d’une mauvaise manipulation lors d’une expérience dangereuse

    – si ils y a bien eu des civils dans les tranchées pas tout te temps, mais quand des villages ont été évacué il fallait bien les faire transiter par quelque part pour leur faire quitter le front

    – La présence de Diana est tout a fait étrange sur le front, et l’histoire officielle n’en parle pas…et bien en fait si, les scénariste se sont appuyé sur la légende des anges de Mons… hallucination collective du a une grande fatigue ou a des drogues militaires expérimentales on en sait pas, le fait est que des soldats ont rapporté avoir vu un ou plusieurs “anges” féminin en armure et épée (plusieurs versions du récit existent…) venu les aider a combattre

    – la destruction du village permet de faire disparaitre les témoins des exploits de Diana et donc de la faire disparaitre de l’histoire officielle

    – l’épée God Killer a bien été détruite, celle de BvS s’en est une autre totalement différente, le bouclier aussi est différent… il suffit de voir n’importe quelle photo promo des deux films pour le constater

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