Quelques années après la fin de la première trilogie et la sortie d’un quatrième long métrage relativement moyen, la célèbre franchise d’aventure revient avec le désir de se reconnecter aux origines de son grand succès.
Il faut dire que le premier volet “La malédiction du Black Pearl” a marqué le début des années 2000 et a su remettre au goût du jour la piraterie, créant un engouement sans pareil pour le premier cycle, ce qui a permis de débloquer des fonds incroyables pour le troisième opus “Jusqu’au bout du monde” (qui fut le film le plus cher de tous les temps jusqu’à la sortie d’Avatar).
Découvrez donc la critique du film ci-dessous et une explication du film Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar en page suivante !
Synopsis
Les temps sont durs pour le Capitaine Jack, et le destin semble même vouloir s’acharner lorsqu’un redoutable équipage fantôme mené par son vieil ennemi, le terrifiant Capitaine Salazar, s’échappe du Triangle du Diable pour anéantir tous les flibustiers écumant les flots… Sparrow compris ! Le seul espoir de survie du Capitaine Jack est de retrouver le légendaire Trident de Poséidon, qui donne à celui qui le détient tout pouvoir sur les mers et les océans. Mais pour cela, il doit forger une alliance précaire avec Carina Smyth, une astronome aussi belle que brillante, et Henry, un jeune marin de la Royal Navy au caractère bien trempé. À la barre du Dying Gull, un minable petit rafiot, Sparrow va tout entreprendre pour contrer ses revers de fortune, mais aussi sauver sa vie face au plus implacable ennemi qu’il ait jamais eu à affronter…
Pirates des Caraïbes, la revanche de Salazar : un retour aux sources ?
Nous retrouvons donc à nouveau notre fidèle Jack Sparrow en très mauvaise posture (et quelque peu amoché par le temps) qui se lance, aux côtés de Henry Turner (corsaire et fils de Will et d’Elizabeth) et de Carina Smith (une astronome accusée de sorcellerie car trop intelligente), à la recherche du Trident de Poseidon, afin de débarrasser Will de la malédiction du Hollandais Volant mais aussi et surtout pour sauver sa peau d’un vieil ennemi revanchard, le capitaine Salazar, qu’il avait mené à sa perte lors de leur dernière rencontre.
Salazar était un chasseur de pirates reconnu et puissant (surnommé le boucher des mers) qui se retrouva victime avec son équipage d’une malédiction causée volontairement par un Jack Sparrow tout jeunot qu’il avait pris en chasse.
Ce cinquième volet est efficace. On peut le considérer comme un divertissement grand spectacle qui saura trouver son public. Les effets spéciaux sont léchés, puissants (le Johnny Depp rajeuni numériquement est impressionnant), les cascades et chorégraphies sont bien travaillées et s’inscrivent bien dans la lignée des films précédents (Disney fait le job et sait s’entourer de collaborateurs et studios très talentueux).
Une saga familiale
Mais surtout, on constate que la franchise a concentré ses efforts sur l’aspect familial de la saga : les liens de filiation sont omniprésents et forment l’un des thèmes majeurs du film. On le retrouve tout d’abord par Henry, dont la première volonté est de libérer son père de la malédiction du Hollandais Volant (et donc de réunir enfin au complet sa famille), ce qui le mènera à trouver Jack Sparrow. Ce thème est également présent au travers de Carina, qui grâce à un carnet légué par son père, mènera leur drôle d’équipe à destination, au gré des vents, des marées et des attaques de ce cher Salazar.
Malgré cela, on ne trouve rien de bien neuf dans ce film qui, même s’il renoue avec les origines de la saga, n’arrive clairement pas à la cheville de ses prédécesseurs, restant toujours aussi bons malgré les années ; la dramaturgie manque de subtilité et on devine facilement la suite des événements, les “révélations” n’en étant plus. Les moments humoristiques du film font sourire, mais pas spécialement rire et on commence à avoir du mal avec le Jack Sparrow de Johnny Depp, qui force beaucoup trop son jeu sur les caractéristiques évidentes de son personnage, ce qui peut créer un peu de lassitude chez le spectateur.
Un scénario assez faible
On peut également souligner quelques zones d’ombre dans le scénario, qui gâchent quelque peu la cohérence du film mais ne l’empêchent pas de fonctionner. Cependant, la saga souffle un vent de fraîcheur en introduisant de nouveaux acteurs et personnages (Kayla Scoledario et Brenton Thwaites) qui semblent prêts à prendre le relais et qui séduiront les jeunes spectateurs ayant grandi avec les opus précédents. Le film saura contenter les passionnés de la saga, un public vaste, mais ne va pas, pour ma part, au-delà du charmant divertissement.
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Je suis d’accord avec l’article à 2 détails prêt : 1. si la malédiction de turner s’achève, celui-ci sans son cœur devrais mourir… oui son immortalité à soigner sa blessure infliger par Davy Jones, mais non son coeur ne repousse pas… Second problème, si toute les malédictions de la mer sont bien dans le sceptre comme dit dans le film (même celle lancer par kalipso et celle du compas) alors normalement, ya plus de possibilité de devenir immortel (le “rêve” de Jack de puis le premier opus) donc mort de la saga… bref ce réal à bien merder.
Henry n’a pas de pouvoir , c’est juste son père qui l’a vue arriver , pcq pour ne pas le remarquer faudrait le faire exprès de plus il parait difficile de survivre pour accéder au hollandais volant or le hollandais volant guette ceux approchant de la mort en mer et de toute façon Will a pas l’air tellement plus occuper que de regarder les poisson passer.
Donc voyant son fils il remonte le bateau et une fois que leur entretien est fini il replonge dans l’eau avec et son fils n’étant plus attacher vers le fond, il se retrouve a flotter de nouveau.
Donc niveau pouvoir 0 pour Henry mais merci papounet Pour se qui est du lien entre Salazar et le compas magique …. il n’y en a pas, et cela est expliqué par différents protagoniste il se trouve juste que lorsque ce compas est trahi par son propriétaire, il lui envoi gentiment son pire cauchemar en remerciement cela aurais pu être le retour de Davy Jones et du kraken mais pas de bol ils sont déjà mort
Bonjour,
En réalité, lorsqu’on trahi le compas, ce dernier libère se qu’on craint le plus. La plus grande crainte de jack lors de son échange était Salazar.