Comme beaucoup je suis un grand fan du Predator de John McTiernan, si je n’ai plus trop de souvenir de sa suite signée Stephen Hopkins, je dois m’avouer par contre beaucoup moins fan de l’usage du célèbre personnage dans Alien Vs. Predator et encore moins dans sa suite Alien Vs Predator – Requiem . Malgré son charisme fou je commençais à me dire que le Predator ne resterait peut-être que la créature culte d’un film, et pourtant il semble que Robert Rodriguez en a décidé autrement, en écrivant et produisant ce Predators qui entend replacer sur le devant de la scène, 23 ans après le film de McTiernan . Si j’ai pas mal de sympathie pour Rodriguez il est loin d’être celui que j’imaginais le plus approprié pour redorer le blason de la franchise, un temps envisagé pour réalisé le film , le Mexicain a finalement confié la tache au cinéaste Hongrois Nimrod Antal, réalisateur du réputé Kontroll et qui a déjà eu deux aventures américaines avant Predators
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