Ca y est, l’Etrange festival est terminé après une dizaine de jours plaisir, de folie, découvertes et de rencontres assez incroyables. Tout s’est donc, logiquement, clôturé… avec la soirée de clôture. Au programme, la révélation du Palmarès (voir ci-dessous), la projection du court métrage qui a reçu le Grand Prix et la projection en avant première du nouveau film de Vincenzo Natali, dont vous pouvez lire la critique ici.
Le Palmarès de la dix-neuvième édition de l’Etrange Festival
– PRIX NOUVEAU GENRE (compétition Long Métrage en partenariat avec Canal+Cinéma) : « THE MAJOR » de YURY BYKOV – Russie – 2013 – 1h39 – Polar
– PRIX DU PUBLIC (compétition Long Métrage) récompense « WHY DON’T YOU PLAY IN HELL? » de SONO SION.
– GRAND PRIX CANAL+ (compétition Court Métrage) : « THE VOICE THIEF » d’ADAN JODOROWSKY – France / Chili / Etats-Unis – 2013 – 24’ – Fiction
– PRIX DU PUBLIC (compétition Court Métrage) : « THE VOICE THIEF » d’ADAN JODOROWSKY »
Bilan personnel de cette édition 2013 de l’Etrange Festival
Je n’ai pas eu la chance de voir The Major, grand prix cette année. Mais les échos que j’en ai eu à droite à gauche étaient très positifs et cette récompense semble donc justifiée. Vous l ‘avez certainement compris, Why don’t you play in Hell ? est l’un de mes gros coup de cœur de l’année, je suis donc très heureux du prix du public récolté pour ce film (Également lauréat d’un prix du public au festival de Toronto).
J’ai également beaucoup aimé We are what we are et 9 mois ferme, la nouvelle comédie d’Albert Dupontel. A un degré moindre, les deux films coréens The agent et Confession of murder ont su me séduire. S’ils sont un peu trop « commerciaux » à mon gout, ils confirment la très bonne vitalité du cinéma coréen.
J’ai moins été emballé par les films Europa Report, English Revolution et Haunter. Ce n’est pas moi qui ait vu et rédigé les critiques pour Contracted et Man From the future mais ils ont été bien accueillis par Tom et Coco.
Vous pouvez retrouver ci-dessous les liens vers toutes les critiques réalisées dans le cadre de cet Etrange Festival :
Critique Why don’t you play in hell?
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