Bong Joon Ho, maître incontesté du cinéma coréen, nous renvoie son génie une fois encore avec l’oeuvre “Parasite” sortie cette année, nominée et ayant remportée trois prix aux Oscars de 2020: les titres de “meilleur film”, “meilleur scénario”, et “meilleur réalisateur” sont donc maintenant suspendus dans le salon de ce cinéaste d’Outre-Pacifique. Premier film sud-coréen à avoir remporté autant d’Oscars, ainsi que la Palme d’Or aux Césars, il nous faut savoir comment et pourquoi ce dernier connaît un succès d’une telle ampleur.
Lorsque l’on connaît (même très légèrement) le cinéma coréen, il nous est impossible de ne pas citer cet artiste qui a notamment réalisé/écrit des oeuvres comme Okja (2017), ou Snowpiercer (2013) pour son travail un peu plus américanisé. Mais, il est surtout révélé par les films comme Memories of Murder (2003) ou encore The Host (2006) dans lesquels il annonce d’ors et déjà les couleurs de son style et ses thématiques fétiches.
Le “parasite” dans toute sa médiocre splendeur
Un des thèmes récurrents dans ses films est l’enfermement, représenté, par exemple par le mur clos (Memories of Murder), la cave, ou encore le trou (The Host). Parasite n’exclut pas à cette thématique si chère au réalisateur qui figure même être un des fondements du film.
Plusieurs choses à savoir sur le parasite en tant que tel, dont la définition est le pilier même du film. Il y a plusieurs significations au terme, une qui est organique dans laquelle le parasite est un être qui vit aux dépens d’un autre (hôte) mais sans forcément le détruire, comme le pou.
L’autre définition est plus humaine et se prête parfaitement au propos de Bong Joon Ho car il s’agit d’une personne qui vit dans l’oisiveté, aux dépens d’une communauté ou d’une autre personne. Ce qui est exactement ce qu’il se passe dans le film, seulement le réalisateur pousse le vice beaucoup plus loin en, d’une part, rendant la raison du parasitage non oisive mais plutôt instinctive et répondant à un mode de survie. D’autre part, en rendant le parasitage meurtrier, et non plus juste dérangeant, comme le relève sa définition première.
Le parasite est donc un être qui se cache, qui s’enferme et en cela, il répond aux thématiques favorites de Bong Joon Ho. D’ailleurs, autre point à relever, son titre est au singulier et non au pluriel. Pourquoi ? Le terme Parasite au singulier en dit long sur le propos du réalisateur. Alors même que nous sommes introduits à divers personnages, tous “parasite”, le réalisateur nous parle d’UN parasite. Quel est-il ? Avant de pouvoir répondre à cette question, procédons à l’analyse du dispositif narratif et des personnages.
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Cette histoire d’odeur a donné la scène la plus invraisemblable de l’histoire du cinéma.
SPOIL : en pleine tuerie, alors que sa famille est en danger, que son fils est inconscient dans ses bras, que tout le monde hurle et court pour sa survie, Monsieur le riche n’a rien d’autre à faire que de se pincer le nez car il est indisposé par les mauvaises odeurs des pauvres. Et Monsieur le pauvre, qui pourrait s’inquiéter pour sa fille en train de se vider de son sang, préfère venger cet affront.
Ce commentaire de “jimbo” était assez bien jusqu’à ce qu’il renvoi dos à dos, Riches & pauvres. Là il est devenu immonde et insupportable. Comme si nous, pauvres, étions des messieurs. Comme si nous en avions les moyens.
Nous sommes au mieux des déchets, au pire, des sortes de wanna be ermites… Et sois dit en passant, vos odeurs, à vous, les Importants et autres bozo se rêvant en Pauvres, et bien vos odeurs, décidément, ne sont pas très agréables non plus. On dirait que vous essayez de masquer ce que vous êtes via quelques artifices… Sans compter les justifications de type “mais, moi aussi…” ; “je suis…” ; “j’ai été” ; “je connais” ; “je”… “je je je je”…
Chhhhhhhhhhhhhhhhhhuuuuuuuuut !
Le silence est mieux. Faites nous, à nous autres les déchets, cette fleur ô importants membres productifs de la société juste, fraternelle, et hihi, égalitaire !
Chhhhhhhhhhhhhhhhhhuuuuuuuuut !
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