Critique du sympathique pilote The Flash Saison 1 Episode 1 – City of Heroes

The_Flash_2014
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The CW frappe fort cette année en proposant simultanément à son catalogue deux séries intimement liées : Arrow et The Flash. La première n’a plus à faire ses preuves et a même servit de tremplin à The Flash lors de l’épisode 8 de la saison 2.

Avis à chaud sur un pilote attendu !

Synopsis

Barry Allen a tout juste 11 ans lorsque sa mère meurt dans de mystérieuses circonstances. Son père,  reconnu comme étant responsable de cette tragédie, est envoyé derrière les barreaux. Le gamin est alors élevé par le détective Joe West, le père de sa meilleure amie, Iris. Désormais adulte, le jeune homme n’abandonne pas l’espoir de découvrir la vérité sur la mort étrange de celle qui lui a donné la vie. Pour l’heure, devenu un brillant expert de la police scientifique de Central City, il aide à reccueillir les preuves qui permettront de coincer les criminels. En véritable geek, sa dernière obsession est un accélérateur de particules activé par l’équipe de S.T.A.R. Labs. Dirigée par un physicien visionnaire du nom d’Harrison Wells, la société entend faire une avancée historique qui aura d’incroyables répercussion sur la science et la médecine. Malheureusement, une anomalie provoque une explosion qui déclenche une terrible tempête. De nombreuses vies sont perdues cette nuit-là, et Barry perd connaissance après avoir été frappé par la foudre alors qu’il se trouvait dans son laboratoire. Après 9 mois de coma, il se réveille sans se douter que son existence va prendre un nouveau virage. L’accident semble l’avoir doté d’étonnants pouvoirs…

Critique

Le moins que l’on puisse dire c’est que The Flash n’est pas une série qui semble vouloir faire compliqué ! Ciblant délibérément un public assez jeune, tout est fait pour ne pas laisser d’ambiguïté sans pour autant ouvrir tous les tiroirs d’un seul coup.

On retrouve donc Barry Allen, alias Flash, lors de ses débuts de super-héros et l’on est invité à partager sa lourde histoire familiale. L’ensemble est cohérent, simple et n’hésite pas à revenir sur chacun des événements pour ne pas laisser de doutes ou d’incompréhensions. Pour le moment, je dirais que les personnages manquent de profondeur, les scénaristes préférant jouer dans un registre assez léger, n’hésitant pas à utiliser l’humour.

Un ton qui convient à un public cible jeune (comprendre adolescents) car l’on devine déjà les prémices de quelques histoires sentimentales, un rapport fort aux parents ainsi qu’une touche techno-fan incarnée par les savants-fous de S.T.A.R. Labs. Grant Gustin incarne pour le moment parfaitement ce que l’on peut attendre d’un super-héros en devenir et il sera bien accompagné d’une bande de potes pas beaucoup plus vieux (et pourtant déjà scientifiques de haut vol). Sa place de justicier est à moitié tracée et son genre à la Andrew Garfield de The Amazing Spider-Man (oui, la comparaison Marvel / DC Comics est faisable !) le met dans une position assez sympathique de geek, scientifique, beau gosse, super-héros.

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Le suspense plane déjà autour de la suite de la série. On se doute que la mort de sa mère sera un fil rouge permanent. En revanche, la place du boss de S.T.A.R. Labs – Dr. Harrison Wells – est plus obscure, il semble lui aussi doté de pouvoirs bien étranges (no spoilers)…

Que nous réserve la suite de la série ? Difficile d’y répondre pour le moment. Sa vie de justicier va certainement être testée car l’orage électrique semble bien avoir créé de nombreux meta-humains…

Dans tous les cas, il faut espérer que les effets spéciaux seront aussi bons que pour le pilote et que la dynamique imprimée par ce premier épisode soit de mise pour la suite !

On attend la suite.

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